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Sains destin, sains futur

Ecrit par Ivan
Parue le 20 08 2021
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Cette histoire érotique a été lue 773 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Sains destin, sains futur

Préface

À fleur de peau fait... L´action, un peu de violence et beaucoup de sexe. C´était excitant, grisant, électrisant, ça tellement amusant. Une belle façon de souligner la paruton de la suíte de ce triller érotique... La belle Melisse ignore à quel point cette fiction va bientõt prendre un malin plaisir à venir bouleversé la réalité. Un lourde silence. Un mysterieux trafic de drogue qui mettra leur vie et celle de leur proches en grande danger. Dans le monde où les crimes de trafic de drogue et les complots internationaux sont plus que jamais opaques, et les cercles du pouvoir, corrompus. Au bout du rouleau, mais porte par sérieux désir de vengeance se retrouvant bientôt pris dans une spirale de violence ou accumulent trahisons, meurtres sanglants et disparitions inquiètants. Une cours-poursuite mortalle qui les menera au bout de l´abime. L´intrigue est menée au suspens et de mystère vivant leur peurs et se rejouissant pour leur succès avec intelligence et vous divertira jusqu´à la fin. Remplis de rebondissements jusqu´à la dernière page.





1

Comme tous ces matins, La blonde se leva tel un robot, une routine qui lui plaisait bien. Tout était prêt de la veille, la cafetière était programé, sa tênue était déjà choisie et son petit déjeuner n´attendait qu´à être dégusté. Êtes-vous thé ou café? Mer ou océan? Baisers dans le cou ou sur le ventre? Tout ceci faisait partie de son train-train quotidien. Dès La deuxième sonnerie du cadran, elle sautait du lit et marchait en direction de la salle de bain en laissant tomber sa culotte au sol. Puis assise dans la douche, elle se laissait réveiller par l´eau chaude.
Ce matin-là, la blonde se sur prit a penser à ce qu´elle avait fait la veille, non sans regretter de s´être couchée aussi tard. Il sentait exactement comme la prendre. Son mari était en voyage d´affaire. A ce dernier mot, elle sourit car prendre était celui qui convenait le mieux a cette courte nuit. Une fois réveillée, elle coupa l´eau et sortit de La baignoire. La blonde attrapa sa serviette au passage et la noua autour d´elle. Du coup elle frissonna pas de doute. Cette journée promettait d´être froide sentant l´odeur du café qui s´était répandue dans tout l´appartement. Melissa s´en sevit une tasse, ajouta un peu delait et Allá s´installer devant la télévision juste à temps pour entendre le présentateur annoncer qu´il faisait froid sur le lieu. C´est le moment que choisit son chien pour venir se blottir près d´elle.
Ce drôle chien elle l´avait recuelli dans un refuge un moi plus tôt, suíte au décès prematuré de son chien rambo mort d´un câncer su pâncreas, ce dernier était tout pour elle, presque un fils. À peine deux jour après ce triste événement, elle parcourut différents sites internet à la recherche d´un chien a vendre. C´est ainsi qu´elle tomba sur l a photo de le chien. Um magnifique épagneul Cocker purê race de deux ans. Abandonné quelques jours plus tôt par sa maîtresse. Si le chien n´était adapte três facilement à sa nouvelle vie. Melissa ne mit que três peu de temps à deviner l´origine de son nom. L´animal effectivement se mettait à hurler chaque fois qu´il entendait une sirene d´ambulance. Même s il hurlait fort, cela ne le rendait que plus attachant. Alors qu´il commençait à lui mordiller la main, Melissa donna une petite tape sur le museau. Du coup, il descendait du canapé et aalla jouer avec une balle de tennis, regardant l´heure, La blonde constata qu´il était pres de sept heure trente. Détestant être en retard, elle se leva dans le but de se préparer, puis se dirigea a la cuisine sivie de son chien qui n´esperait rien de mieux qu´une ration de croquette.
La belle femme se resservit du café, débrancha la cafetiere et mordit dans un bagel aux fraises. Elle ressera sa serviette au-dessus de sa poitrine et decida de se maquiller avant d´enfiler ses vêtements. Ce faisant elle se contempla dans le miroir. Ses cheveux blonds et longs tombaient jusqqu´au milieux de son dos, alors que ses magnifiques yeux clairs lui apparaissaient plus cernes qu´à l´habitude. Elle lança un fin trait noir sur ses paupières, juste à La base des cils et appliqua une poudre d´une tente légèrement rosée sur ses joues. Satisfaite du résultat, elle de défit de sa serviette et en tênue d´eve alla dans sa chambre.
C’est l’été! la chaleur commence à se faire sentir. Ce matin, elle s’est levée avec ce sentiment en elle que ce ne serait pas une journée comme les autres. Au fond d´elle une sensation de chaleur, douce et intense te tiraille. Melisse est une magnifique poupée de 33 ans. Ses jambes longues et fines, ses cuisses pleines et douces, et ses hanches larges soutiennent une taille de guêpe et une poitrine de 95 C qui se tient bien ferme. Son visage d’une perfection absolue est auréolé d’un regard bleu métallique surnaturel. 1m72 de rêve à l’état pur, 58 kilos de bonheur brut. Elle est excitée. La blonde ne sait pas trop comment s’habiller par ces températures, Elle est blonde, belle, Un corps parfait, dans un mariage libre. Le mari l´encourage d´avoir des amants en escapades libertines, partagées avec le sourire et le plaisir de leur complicité. Ses cheveux blonds et courts mettent en valeur l’éclat de son regard bleu, toujours à l’affût d’une occasion à partager. De sa bouche fine et douce, à ses doigts fuselés, tout fait penser en elle au plaisir qu’elle sait si bien donner et recevoir.
É pour lui, en un mot il a retrouvé un goût à la vie. Ce matin il se réveille doucement, ouvre les yeux et découvre Melisse étendue sur le dos qui respire paisiblement à ses côtés. Il l’observe. Sa poitrine voluptueuse gonfle le drap à chaque inspiration, ses tétons transpercent la toile. Dieu qu’elle est belle! Patricio sent déjà son érection, c’est fabuleux, c’est magique. Il reste un moment à la regarder, s’émerveillant de son visage harmonieux. Il voit les lèvres pulpeuses, et a soudain envie qu’elle le prenne en bouche. Il imagine, son gland prisonnier des caresses entre les babines roses délicatement charnues, pendant que la langue s’enveloppe. utour de lui. Il pense à cette bouche aspiratrice qui l’emporte d’un coup dans un tourbillon divin, ces lèvres suceuses qui le consomment en couches fines tel un bonbon de sucre, ses yeux d’un bleu irréels dans lesquels il aime se noyer durant l’exta. Seul avec ses pensées, il s’excite et son érection est maintenant pleine. De sa main il caresse le bras, l’épaule, et descend sur la poitrine. Il espérait pouvoir atteindre le globe et le tenir un instant mais Melisse se réveille. Elle pousse un gémissement terriblement sensuel, s’étire et se cambre, sa poitrine surgit du drap qui retombe sur son ventre plat. Patricio observe ce corps de féline qui se tend devant lui. Elle lui a attrapé sa main et a bloqué sa progression. Puis, elle se tourne vers lui, passe la jambe au-dessus des siennes, le bras autour de son cou. Elle a senti son érection et pousse un soupir de félicitation et de contentement. lle se place au-dessus lui et l’embrasse tendrement, leurs langues s’emmêlent. C’est la manière de se dire bonjour dans la nouvelle vie de Patricio.
Son sexe est écrasé sous le bas ventre de Melisse et elle joue à remuer son pubis pour l’exciter au maximum. Elle se redresse, caresse le visage avec sa poitrine. Elle se redresse encore, frotte sa fente contre le dard turgescent, Une fois, deux fois, plusieurs fois lentement en fixant Patricio dans les yeux. Il sent parfaitement du bout de son gland les lèvres de Melisse s’adoucir et s’humidifier, se ramollir et s’ouvrir. Il laisse faire, son excitation monte toujours, il sait qu’elle pourrait venir à bout de lui de cette manière, mais il sait aussi ce qu’elle va faire. Lorsqu’elle est prête, elle se lève à peine et engloutit le sexe de Patricio. Il sent son gland qu’elle appuie pour l’obliger à forcer le passage, puis elle s’ouvre comme une rose magique. Elle absorbe juste le bout de son sexe, ressort à peine et le mange de plus en plus profondément, comme on trempe sa mouillette dans un œuf à la coque. La chaleur l’envahit et la douceur le comprime agréablement.
Elle commence à bouger ses reins doucement puis plus vite, le sexe de Patricio coulisse en elle tel un piston dans un cylindre idéal. Il La regarde travailler. Chaque coup les élève tous les deux. Il l’aide en l’attrapant par les hanches, et le rythme accélère, comme leurs montées vers l’extase. Puis il la soulève par les fesses et remue sous elle, comme un lapin en chaleur. L’acmé du plaisir s’approche rapidement, Melisse gémit, il la frappe de plus en plus vite, elle crie, elle arrive à l’extase, elle a un orgasme, elle l’appelle, Le mari est au bord du monde. Il ralentit, mais elle le relance, il ne pourra plus résister très longtemps. Il la repose et la colle contre lui. Elle se vrille au-dessus en le regardant intensément.

- Je veux que tu viennes. Dit-elle.

L´époux est à l’extrême limite, s’il l’écoute il regarde travailler. Chaque coup les élève tous les deux. Il l’aide en l’attrapant par les hanches, et le rythme accélère, comme leurs montées vers l’extase. Puis il la soulève par les fesses et remue sous elle, comme un lapin en chaleur. L’armé du plaisir s’approche rapidement, Melisse gémit, il la frappe de plus en plus vite, elle crie, elle arrive à l’extase, elle a un orgasme, elle l’appelle, Patricio est au bord du monde. Il ralentit, mais elle le relance, il ne pourra plus résister très longtemps. Il la repose et la colle contre lui. Elle se vrille au-dessus en le regardant intensément.


- Je veux que tu viennes. Dit-elle. Patricio est à l’extrême limite, s’il l’écoute il jouit.
- Arrête s’il te plaît. Dit-il.
- Tu ne veux pas. Dit-elle désappointée en remuant son bassin.
- Pas encore, s’il te plaît.
- D’accord, comme tu voudras mon cœur.
- Tu m’as fait jouir tu sais mon cœur, et je veux que tu jouisses aussi avant de partir au travail.J’ai encore envie de jouir mon chéri. Dit-elle.
- Je voudrais dans ta bouche ma chérie.
- Oui mon amour, c’est une excellente idée, je vais le faire.
- Dans ta bouche ma chérie s’il te plaît.
- Oui mon amour je vais le faire.
- Abandonne-toi! Viens maintenant! Laisse aller! Viens!
- Allez mon amour, tout! J’ai dit que je veux tout de toi.
- Bravo mon amour, tu as tout donné, je t’aime. J’aime quand tu me donnes tout, j’aime te voir jouir pour moi.







2


À la voir ainsi, un connaisseur devinerait ce qui se cache derrière son apparence classique et ne peut qu’être tenté de la séduire. Le mode vie de Melisse Veronesi Mello était particulier à bien des égards. Son mari Patricio Mello, 37 ans est un gentil proprietaire d´une petite entreprise en quête d´amitié. Il sait qu´il y a beaucoup offrit à sa femme de sa vie il travaille dur. elle prit soin de ses ongles, de son maquillage, un peu soutenu mais sans vulgarité, un trait d’eye liner sur ses paupières, un peu de blush, une touche de gloss rouge sur les lèvres, quelques bijoux en argent dont une grosse bague, un bracelet et un collier en ras de cou. Elle enfilait un soutien gorge rouge, sa robe rouge, ses escarpins rouges à talons et elle fut prête… Enfin presque. Cette robe attire énormément les regards, cette fente à sa cuisse, et puis personne ne se doutait, pas même mon homme, de ce qu´elle cachait au fond d´elle!
Après avoir passe plusieurs des années entièrement dévoué à mettre sur pied son entreprise. Le couple avait décidés d´avoir sexe libre. le mari aimait le regard des hommes sur Melisse son épouse. Grande et blonde, elle suit les tendances de la mode sans difficulté avec sa taille de mannequin. Arrivés sur le parking, ils se dirigent à l’entrée de la boîte. Féminine, elle porte une robe légère et fluide, ses pieds chaussant des escarpins à talons hauts dans une fête de réveillon dans une boïte mondaine “Bahamas”. Melisse sentait ces regards posés sur elle, si excités à chacun de ses pas, comme si tout ces gens voyaient et comprenaient ce qu´elle ressentait.,

La boîte est superbe qui dégagent une odeur de sueur et de cigarette. Patricio et Melisse sont ébahis devant tant de luxe. Elle remarques quelques regards insistants., Mais, Melisse veut profiter de cette situation d’exhib. Tu sais très bien que ça me plairait. Alors, le mari lui demande si elle est interessé du Palyboy que la mate. Il avais envie d’elle. Elle savait combien elle était belle et désirable dans sa robe. Les résultats depasse ses attenttes.


-?Tu es super belle dans ta robe. J’ai vu plein de mecs qui n’arrêtent pas de te regarder.
-?Arrête, flatteur.
-?Tu n’es pas jaloux de me voir ainsi provoquer le mec? Tu crois que je devrais y aller?
-?Vous êtes très belle. Cette robe sexy et osée, comment on dit pour cette couleur??Tu en meurs d’envie?! c’est évident. Il est beau mec, profite! Alors, vas-y.Vas-y, si ça te fait plaisir.
- Il est três intéressant, Dora m´avait dit qu´il a un pénis énorme et sait de faire les choses. Oui...Tu sais, cette impression de passer la ligne rouge qui excite et angoisse en même temps, dit-telle.

Perversion ou fonctionnement inhérent de l’âme qui consiste au moins en rêve à offrir aux regards pour le moins ou plus sa propre femme à la convoitise, Si le fantasme candauliste est courant chez les hommes, il semble que la version féminine soit plus rare. Jean Martins 30 ans. Il est un playboy fil d´un milliardaire qui collectionne des amants, aui aime une femme mariée. Elle remarque avec son sourire timide et ses regards de coin de l´oeil. C´est son jeu de séduction. Il tombe amoureux d´elle dès le premier moment. Pendant que son mari s´eloigne d´elle il s´approche.


- Qu’est-ce qu’il y a ? elle me demande en croisant mon regard.
- Rien. Je te regarde. Tu es belle.
-?J’ai amené du champagne. Vous en voulez une coupe??
-?Avec plaisir.
- Je m´a appelle Jean et vous?
- Melisse.
- Vous avez la peau très douce. Et cette robe rouge vous dévoile à ravir.
-?C’est… c’est la première fois que je la mets.
-?Que faire, sinon descendre aux toilettes? Il comprendra sans doute, non? Lui demande-t-il en souriant.

Sirotant son verre, la femme laissait négligemment traîner sa main sur sa cuisse sous la table et il rêvait qu’elle la remonte pour toucher son érection qui devenait douloureuse.
Un truc de fou… Le voilà pris au piège de ce couple pervers! mais comment résister aux charmes d’une si séduisante femme tombant comme par magie dans ses bras?
- Tu pourrais monter et m’attendre dans la première pièce que tu trouveras.
Ses talons claquent doucement sur le carrelage et elle ouvre la porte de la petite pièce où elle a vécu son aventure. Une fois entrés et la porte close, elle s’assied sur la cuvette, lui tend les mains à hauteur de ses cuisses et lui fait revivre l’histoire. Ses talons claquent doucement sur le carrelage et elle ouvre la porte de la petite pièce où elle a vécu son aventure. Une fois entrés et la porte close, elle s’assied sur la cuvette, lui tend les mains à hauteur de ses cuisses et lui fait revivre l’histoire. je lui ai demandé d’ouvrir lui-même sa braguette, qui l’apparaissait bien remplie et tendue. Rapidement, il a glissé sa queue hors du pantalon et Melisse a pu constater que son petit jeu dans le salon avait fait son effet… Son sexe enorme était en pleine érection, le gland tendu et ses couilles remontaient, gonflées. Tout en le maintenant devant elle. Elle a titillé légèrement sa queue du bout de aa langue, puis l’ai fait glisser tout du long, vers le bas, lentement, très lentement.

- J’ai senti alors que son sexe se gonflait entre mes lèvres et il m’avertit qu’il aurait du mal à se retenir encore.
- Tu m’étonnes, avec tes talents de suceuse, il n’allait pas tenir le coup longtemps.
-?Tu as été terrible, lâche-t-il, encore essoufflé.
-?Prends-moi, j’ai trop envie!
- Dis-moi de quoi tu as envie, petite coquine.
-?De ta…
- Allez, dis le mot!
-?De ta queue. Ta peau est douce et tu as une belle queue.
-?C’est toi qui m’a tuée… Je n’ai jamais ressenti ça avant, je n’ai jamais joui comme ça de ma vie… Surtout pour une première fois…

Ils se retrouvent à une petite table tous les trois. La conversation s’engage. L´époux comprend vite que s’il veut aller plus loin, il faut amadouer le mari. Elle était pleine de foutre. Le mari vit son jus couler sur lês cuisses de son épouse.

- Melisse… Et elle, vous plaît-elle?
-?Tu sais, ta femme est formidable.
-?Au contraire, tu es parfaite. Peut-être trop justement…
- Je reconnais jouer avec le feu, mais c’est plus fort que moi! Je la désire et l’aime à la folie, mais qu’elle puisse plaire à d’autres m’exciterait encore plus.


Il sympathise, découvre que Melisse adore les voitures.


- Melisse, un cadeau que tu revê recevoir?
- C´est três chère. Impossible.
- Rien est imossible, ma reine.
- Une Porsche Jaune flambant de neuve. ?Vous êtes déjà montés dans une Porsche?
-?Non, jamais.
- Mais a une condiction. D’accord, tu vas l’avoir, à une condition. Je dois te baiser dans ton lit et son mari doit me sucer avant... Tous lês deux m’obéira chaque fois que vous serez avec moi.
- C´est avec lui. Oh, mon chéri ça doit être magnifique. Mais je ne peux qu’accepter.
- Je suis d´accord, dit le mari.

En ce moment, le mari a de nouvelles envies, il aveut réaliser leurs fantasmes les plus vicieux en se servant de lui comme un objet sexuel.

- Je veux la voir dans la superbe Porsche Panamera.

Elle reste silencieuse, perdue dans ses pensées. La semaine suivant arrive sa Porsche jaune comme elle rêvait. C´était une pétasse vicieuse et malveillante qui avait fait semblant de s´apprécier pour les besoins de son jeu classique. Sharon écarquillée lês yeux sur la voiture, ses yeux brillent de Mille feus. Elle parle au téléphone avec son amant:

- Tu pourras faire de moi ce que tu veux, tout ce que tu veux…
- Tout, tout ce que je veux ? Mais que tu voudras aussi??
- Absolument tout et je le veux aussi.?
?
Patricio y découvre le plus beau des cadeaux que l’on puisse faire à une femme. Puis de ça... Vice, perversité, dépravation, luxure, péché, stupre, débauche, licence, corruption des âmes… Mais son épouse pense: amour, sexualité, plaisir, jouissance.
Les jours et les semaines se déroulèrent donc ainsi, sans pour autant amoindrir sa peine, lorsqu’un soir le tintement de la sonnette retentit. Jetant un coup d’œil au judas avant d’ouvrir, quelle surprise: lui, Jean, mon amour… Son âme sœur se trouvait devant la porte!
Sa femme lui sert un whisky bien tassé, sec et sans glace, comme il aime et retourne s’asseoir quasiment collée contre lui. Il passe son bras derrière ses hanches, sa main sur la cuisse de sa femme, et elle se tourne vers lui et l’embrasse. Il se rends compte que sous l’effet du baiser, ses cuisses se sont légèrement ouvertes et qu’elle s’abandonne complètement à cet homme.

-?Regardez !

Et il voit sa femme que prend sa verge de la main et l’embouche. Il voit maintenant une belle queue, légèrement courbée vers le haut, bien rigide et plus épaisse et longue que la sienne. Il admire et il aime que sa femme la suce, la lèche et profite comme lui des réactions de son corps.

- J’avoue que là, j’ai eu un peu de mal à ne pas regarder sa belle queue.
- ?Pourquoi? Elle est si belle?
-?Euh, moi je trouve qu’il a un sexe magnifique. En ce moment il a la queue entièrement rasée, ou épilée je ne sais pas, mais en tout cas c’est très beau de voir ce membre sans un poil, d’autant plus qu’il me semble très gros.
-?Elle aime beaucoup me sucer comme ça! Tu en as envie aussi? Lui dit-il.
-?Oui, mais j’ai encore envie.
- ?Moi aussi, viens
-?J’ai envie de vous baiser tous les deux. Que vous soyez à ma disposition et que vous me fassiez jouir plusieurs fois.?Suce-moi pendant que je m’occupe d’elle.


3


Il s’agenouille. Sa femme lui regarde, l’air de dire « Tu vas voir comme je suis avec lui… » Elle guide sa queue vers aa bouche et lui dit:

-?Suce-le doucement et profondément, il aime ça!

Elle s’allonge, cuisses ouvertes, la chatte luisante de mouille.

-?Lèche-là, je n’aime pas quand elle est trop lubrifiée.

Il est à lécher, à nettoyer et il en profite pour l’exciter en la pénétrant légèrement de sa langue Pendant qu´il réalise ce doux nettoyage,
-?Tu es actif ou passif?
-?Les deux, mais je préfère passif. Baise-moi, j’ai envie de ta queue, d’être ta salope et de sentir la bite qui fait jouir ma femme.

Une sueur froide me coule dans le dos. Il présente son gland à l’entrée de mon cul et je n’ai qu’une seule envie, c’est qu’il lui pénètre comme elle. Il y a cette douleur qui me rappelle qu´il est un homme et qu´il aime se sentir rempli par un mâle et que cette douleur, ce sont les prémices à être enculé. Il aime cette douleur qui est de plus en plus fugace mais qui lui rend salope.

-?Quel cul! Il est étroit, presque vierge! T’aimes cela, mon salaud, te faire mettre? Tu la sens ma grosse bite?
-?Baise-moi ! Encule-moi ! Je veux sentir ta bite et que tu aies envie de moi.
?- Regarde, Hérine, comme il aime ça, ton mari! Encore plus salope que toi quand je te sodomise. Il va me faire jouir parce qu’il s’amuse à me serrer la queue pour mieux la sentir.

Et il lui baise, il l’encule. Ses coups sont longs et forts. Il lui dit qu´il est une bonne salope, un bon petit pédé, un parfait cocu enculé. Il gémit. Il va jouir. Jean jouit. Il reste bien au fond de ce cul qu’il a défoncé avec ardeur. Quelques soubresauts et il s’immobilise. De longues secondes passent. Et puis il se retire. Pourtant il garde les jambes de son mari haut perchées comme s’il attendait. Les sensations avaient été divines.


-?J’adore voir un cul se refermer doucement et… Voilà… Mon foutre qui coule. Putain, c’est super
- Par le cul! Comment mon époux a pu recevoir sans douleur ce monstre? Demande Melissa.
- Je sens que tu es comme elle. Tu aimes te faire enculer et sentir la queue d’un mâle qui te baise. Tu aimes t’offrir à un homme et surtout à celui qui baise ton épouse.
- Demain je veux sortir avec son épouse.
- J’ai encore envie qu’il vienne me voir ou m’appelle pour qu’il puisse assouvir ses envies avec moi, en moi.
- J’ai envie qu’elle rentre encore couverte de son odeur et pleine de son sperme.

Melisse affolé quand mème deçu frappé à la porte de sa voisine La suppliant d´appeller la police. Elle revele de façon inattendu que son amant vient d´assassiner son mari dans une crise de jalousie. Alors La Police a commencé à examiner le comportement et les actions de sa femme. Le corp de Patricio est en était de rigidez cadavérique. Le tueur a voulu símilé une mort pour étranglement, cependant le nombre de blessure sur le corps de Patricio indique qu´il a été abatue à mort et que le tueur s´acharner sur la victime, l´acharnement consiste à infliger à un nombre exagéré de blessure pour causer la mort c´est gene ralement un signe de rage de colère et de trahison dans un placard près de la salle de bain. La Police trouve un chassure noirs à talons aiguilles couvertes de sang. Pour les policiers il est clair que que c´est l´armes du crime. Le lit met en évidence un autre détail révélateur, parmi le drapes desfaits il avaient trouvés des taches de sang ceché qui correspondait la poitrine de Patricio. L´endroit ou le crime avait arrivé donne beaucoup d´informations. Par exemple si le meurtre a eu lieu dans la chambre. Il s´agit peut-être de deux personnes impliquées dans une relation amoureuse, ou un réglement de comptes.
Quand elle marche, elle aime promener son regard sur les gens. Elle cherche à capter le regard du passant, elle espère y déceler une étincelle, un signe. Elle cherche l’excitation dans ce micro-flirt, le temps d’une seconde. Elle éprouve une certaine ébriété à marcher au milieu des gens, surtout la nuit. Elle aime voir les gens vivre, croiser leur regard et continuer son chemin, l’esprit enflammé par toute une série de scénarios érotiques.
La nuit dernière elle déjà eu envie de faire la tetê dans le bar jusque tard de la nuit près de centre-ville. En entrant son regard croise celui d´un mystérieux étranger de l´autre côté de la pièce. Les yeux d’une majorité des clients la suivent. Le jeu dure comme ça une dizaine de minutes.
Au s’approcher de lui avec ta jolie robe moulante qui découvre ses superbes jambes à mi-cuisse. Sa robe moulait sa poitrine menue et s’évasait sur ses hanches, jusqu’à ses genoux. On devinait à chacun de ses pas, la souplesse de sa taille et le balancement prometteur de son adorable petit cul. Ce décolleté généreux cache un 90C très apprécié par les hommes en général. Elle seras plus sexy et séduisante que jamais. Elle va s’asseoir devant lui. Elle serait à distance, mais elle va vite comprendre qu´elle a fait le bon choix, que cet homme lui plaît, qu´elle le trouve séduisant et même qu’il te fait rire. Elle aurait l’évidence sous ses yeux du désir de cet homme, mais aussi de son propre désir. Le beau jeune homme est un journaliste du Méxique qu´elle avait fetê presque toute la nuit. Elle prend décision irracionnelles et elle n´avait aucun controle sur ses impulsions. Elle n´est pas consciente du risque qu´elle coure.

-?Comment tu me trouves? C’est pas trop?
-?Si, mais j’adore! Tu me coupes le souffle. Bravo!
- J’ai envie que tu me prennes. Tu te sens capable de m’accompagner chez-moi?

Melisse ne prend même pas soin de refermer la porte, et se jette sur lui à peine a-t-il franchi le seuil. Leurs lèvres se rencontrent finalement et tous deux gémissent de plaisir. Ils s’embrassent rapidement, partout sur le visage et s’aventurent bientôt dans le cou, la nuque de leur partenaire. Dans le long couloir qui mène à sa chambre, elle le plaque contre le mur et glisse ses mains sous son la robe, ele caresse caresse son torse. Il la pousse à son tour contre le mur opposé et s’agenouille devant elle. Il caresse de son nez sa petite culotte déjà humide, et mordille tout doucement sa cuisse. D’un mouvement de bassin, elle l’invite à poursuivre sa découverte, mais il se relève et l’entraîne au fond du couloir. Ils pénètrent dans sa chambre. Elle s’assied sur son lit, et écartant légèrement les jambes, l’invite à l’y rejoindre. N’y tenant plus, il glisse ses mains sous sa robe, et tout en la caressant, la déshabille. Ses seins sont nus et il les suce avec empressement. Elle le repousse, le fait coucher sur le dos et se met à califourchon sur lui. Il la caresse doucement, puis de plus en plus vite à travers sa petite culotte, bientôt trempée tant son excitation est grande. Elle s’en débarrasse rapidement et il insère d’un geste assuré ses doigts dans son vagin tout mouillé, tout en caressant son clitoris. Il se penche ensuite sur elle et entreprend de lécher le sexe dégoulinant de Melisse, qui gémit de plus en plus fort et s’extirpe pour défaire la ceinture du jeune homme. Elle lui enlève avec empressement son short et son caleçon, et prend son pénis déjà bien gonflé dans sa bouche. Elle caresse du bout de la langue le gland, avant d’engloutir tout le pénis dans sa bouche. Tim soupire de plaisir et, impatient, la soulève à sa hauteur. Il se place au-dessus d’elle, enfile le préservatif et s’apprête à la pénétrer.
Tous deux retiennent leur souffle, tant le désir est grand. Ils se regardent dans les yeux, le souffle court et le regard embrasé. Il insère son gland, mais le retire prestement. Elle lâche un cri, frustrée et incroyablement excitée. Elle saisit les hanches de Tim et dirige le pénis en érection dans son vagin moite de désir. Dans un soupir commun, ils goûtent enfin au plaisir tant attendu. Il exerce des va-et-vient toujours plus rapides, et Melisse ne peut s’empêcher de gémir bruyamment :

-?Oh oui, prends-moi. Ohhh, tu aimes ça, hein ? Mmhhh… J’aime quand tu es dans moi. Oh mec.
Le jeune homme, tout aussi excité, soupire bruyamment. Il la retourne et la prend en levrette. Melisse, au comble du plaisir, s’agrippe au mur pour ne pas tomber. Elle sent ses seins ballotter et lui, qui profite du spectacle s’en saisit. Il admire la posture cambrée de cette jolie inconnue avec qui il partage un instant de jouissance complètement inattendu. Melisse fait aller ses hanches et encourage Tim à augmenter encore la cadence. Leurs corps luisants s’entrechoquent de manière toujours plus précipitée. La blonde tourne son visage vers son bel inconnu de temps à autre, le temps d’un baiser passionnel et maladroit, tant l’envie est grande. Les jambes de la belle femme commencent à trembler et elle s’abandonne enfin à la jouissance. À l’instant même, Il éjacule abondamment.
Épuisés, mais heureux de la tournure de leur soirée, les deux se regardent en souriant, comme s’ils prenaient à croire ce qui venait de leur arriver. Dans ce moment que son mari arrive à sa maison. A faire une surprise à sa femme, en approchant de la porte de sa chambre. Il est surpris d´entendre les gemissements d´extases de son épouse. Désespéré et en colère grandit alors il se precipite dans la chambre. Sa chérie épouse le trompe avec un iconnu dans son lit. Elle veut lui donné une explication qu´il ne veut pas entendre. Il savait bien que quelque chose ne tourner. L´inconnu saute sur lui et le bat à mort avec une des chaussure à talons de Melisse. C´est la un crime passionnel. Le couple meurtrier par leur crime fait la fete et trane le corps sans vie dans le lit avec eux. Ils font l´amour plusieurs fois tandis que le cadavre de son mari déjà leurs côtés, ils vont même jusqu´à faire des autoportraits em souriant puis les partage vie internet le amis du mexicain. Quand ils ont fini ils traîne le corps de Patricio dans la salle de bain et decide de lui couvrer la tête avec un sac palstique blanc. Après d´une nuit réparateur ils se levent tôt lendemain matin comme si c´était une journée normal. Elle va débarasser d´un corps. Alors elle allait entré dans une crise d´angoisse. Alors elle allait jusque sa voisine, mais la Police arrive rapidement. Tous les deux sont arrêtes. Elle a été un théâtre d´horreur défiant l´imagination.
Le journaliste Mexicain et Melisse sont considérés coupables et condamnés à 30 ans de prison chacun pour l assassinât de Patricio son mari sans possibilite considération conditionnelle.



4

Le couple le plus glamour de la ville. Il était riche, elle est terrifiée à l´idée de le perdre, un scandale sans precedent. La merveilleuse blonde. Jackie Ferreira. Elle était riche. Elle était célébre, Elle est très belle. Tous les ingrédients d´un bon triller. Elle habitait dans une fabuleuse résidence dans un quartier de fabuleuses résidences. Elle était parmis les moins nantis de la classe moyanne à l´époque. Elle était de mal à croire qu´elle se retrouvait dans cette situation. Elle était une famille pauvre, mais ne manque pas en elle l´ambition. La blonde voulait une vie meilleure. Elle avait tout fait pour y arriver là. La blonde avait tout imaginé dans sa tête. Elle savait ce qu´elle voulait devenir. Elle s´est réinverter en permanence. La belle cherchait toujours à en apprendre plus. Jackie avait passé une drôle de nuit, emplie de rêves étranges et érotiques. Elle se sent toute chose dès le réveil, son cerveau resonne encore des bruits. Elle s´est habillé sexy, classe, mais sexy… Elle adore ce qu´elle ressent, elle se sent chasseresse, mais au fond d´elle, elle savait qu’il ne se passera rien, mais elle adore l’idée… L’ivresse, la chaleur. Quand elle arriva quelque mètres d´um café une inconnu était là à la mater avec envie. Elle sentit qu´il obsservait de ses yeux sombres plus froid que le vent de cet fin d´hiver qui ébourrifait ses cheveux blondes, tandis qu´il serait ses poings dans lês poches de son blouson de cuir. Et-ce qu´elle le connaissait? Quand elle se rapprocha, il bouge légèrement et elle vit sa bouche une sort de sourire comme celui d´un taré articulé. C´était un sourire calculé dépourvu de toute chaleur sans répondre au hochement de tête presque imperceptible qu´il lui adressa lorsque leur regard se croisèrent. Un sourire pleine de mystère réalisa-t-elle, en se retournant brusquement pour monter vivement le trottoir soudain prise des frissons. Avec toujours ce sourire malsain sur les lèvres. “Je suis la perversité”. Maintenant elle senti qu´il marchait derrière elle d´un pas assuré dont les vibrations commeçaient à lui traverser tout le corps.
Un après-midi ensoleillé dans les rues d’une grande ville. L’atmosphère étouffante invite beaucoup de gens à flâner et à siroter une boisson fraîche aux terrasses des cafés, à l’ombre des parasols. La blonde porte une légère robe d’été sans rien dessous, excitante à souhait dans tes chaussures à hauts talons. Dans la rue face à une énorme pancarte publicitaire, plus grande qu´une affiche de cinéma qui font très star chassée de lunettes noire. Elle regarda à sa montre elle se decide à acélérer le pas sans retenu observant la vie qui se déroule face elle... Elle était bien plus sexy qu´elle ne l’avait jamais été. Rien que de lui regarder marcher dans la rue cela trouble tous ses sens et nombre de regards la déshabillent. Mon Dieu! S’ils savaient que sans ce bout de tissu, elle serait entièrement nue! “Moi, ça m’excite!” Doucement elle remonte un peu sa robe jusqu’en haut de ses cuisses et elle écartes suffisamment les jambes pour qu’il puisse voir. Son jeu préféré est de provoquer et de choquer. Ils arrivent devant une brasserie et s´y engouffrèrent. Debout devant le bar lês hommes se retournèrent et La suivit du regard. Elle s’installe à une table, elle commande à boire. Alors elle voir l´inconnu du trottoir devant elle. Il est boche bée de sa beauté.

- Mon Dieu! Comme il est beau.

Il la dévore de ses grands yeux foncés, un regard pénétrant, il est excessivement beau, des lèvres charnues, je trouve particulièrement érotique. L’alcool aidant, Elle se trouve particulièrement désinhibée, et elle répond avec arrogance à ses regards provocants… Elle écarté um peu lês cuisses pour mieux laisser l´inconnu voir son intimitée. Le rencontre est assez conventionnel, sans réel originalité, boissons alcoolisées, bières, cigarettes. La soirée est chaude et l´air est sec. Sa voix est profonde et très douce à la fois, inutile de dire qu´il l´attirait beaucoup.
- C´est rare de voir une femme si belle toute seule.
- Désolée, je vient de passer un sale moment.
- Le même, ajouta l´avocat.
- J’ai envie de toi, ?Je te plais comme ça? Lui dit-elle.
-??Oui! Tu me troubles vraiment. Tu es tellement femme.
-?Je suis heureuse de te plaire.
-?Nous avons du temps… Du moins, je l’espère.
- La nuit devant nous…
-?Veux-tu boire quelque chose? On pourra se câliner autant que tu voudras.


Sensualité, désir, frivolité… tout ça s’était envolé. Sa silhouette aux formes à peine esquissées l’avait séduit. Au début, ça avait été genial. Dans les toilettes Jackie contemple ce sexe fièrement dressé devant elle, pour elle, si vigoureux, tendu, dur, incroyablement dur. Elle ne lui presse pas, tout au plaisir du spectacle de ce corps d’un blanc laiteux, tacheté, la peau semble si fine, si fragile. On distingue nettement les veines bleues de sa poitrine. Sa toison rousse légèrement bouclée, bien taillée, laisse entrevoir ses fines lèvres encadrées de ses cuisses dont la peau semble aussi fine que celle de ses seins. Son corps est encore mieux que ce qu´elle imaginait, imberbe, luisant, musclé, sa peau est douce, sucrée. Jackie le branle doucement l’appliquant à lui distiller tout ce que son expérience l’a appris sur le plaisir masculin.

- Allez, viens?! T’es pas venu juste pour regarder.
-?Oh oui, tu vas la sentir ma bite et la soirée ne fait que commencer.
-?Aaahhhhhh, oui, salaud, salaud, tu vas encore me faire jouir…

Voilà il vient enfin, à l’unisson avec elle. Jackie n’en peut plus, elle est exténuée, vidée… Enfin, remplie!… Son sexe reste fiché en elle, cette sensation est unique, divine, une communion inédite entre elle et cet inconnu.


-?J’adore les femmes qui se lâchent aussi vite, ma chère on va faire plein de choses ensemble.
- Tu ne peux pas imaginer comme cette manifestation surprenante de désir me comble de bonheur. Je suis moi aussi très excitée à cette idée.
-?Comme il vous plaira, ma reine! Bien sûr, ma reine! Vos désirs demeurent des ordres, majesté.?Tu vas voir, c’est encore plus jouissif.
-?Quel bon toutou! Tu ne peux pas t’imaginer comme tu me fais plaisir!

Jackie comble ce vide avec son amant qui devenir sa grande passion. Qui peut imaginer les terriles événements qui vont suivre. L´acteur porno ne passe d´un rodeur. Quelqu´un avait dit a lui qu´il y a un rôdeur amant de sa femme.
La ville a été bati dans les annèes 80 pour les familles fortunées. C´est aujourd´hui elle y retouve parmis les gens du plus riche du pays. Les maisons à verizon se vendent habituellement plus de 10 millions de dollars la plus part d´elles sont spacieuses et magnifiques. Elle était mariée avec un entreprenneur de l´industrie. Il insère un penchant pour belles femmes. Jackie s´est rend à l´evidence que son mari est parti. Il a quitté son domicile. Elle entre et reagarde, rien de chose elle retrouvé dans ses armoires. Visiblement il est bel et bien parti. Cette annonce va faire l´effet d´une bombe. Tout le monde étonné du départ de Waldemar Ferreira choisit pour disparaître. Il avait reste sans nouvelles 15 jours. Ça ne ressemble pas et signale la disparition de son mari. Huit heures plus tard le téléphone sonna mais les nouvelles ne sont pas bonnes. La Police avait signalé un véhicule abandonné devant un immeubile. À premiere vue il semble s´agir d´un vol de voiture, un délit fréquent dans la ville. Au ouvrir le cofffre de la voiture un corps d´un homme de 42 ans, la viature imbebé de sang. Dans la region, trafique de drogue et prostitution. La viature apparitent à un homme du nom Felipe Ferreira. Il est mort et était à la morgue. Jackie Ferreira puis de traverser un couloir il était étendu sur une table. Elle était couché sur lui n´arrêtait pas de pleurer, malgré le chagrin, les enquêteurs doutent rapidement de sa version des faits. Le policier avait enlevé le drap qui couvrait son visage. Il était là immobile et silencieux, elle s´est dit c´est mon mari.
- Qu´est-ce qu´arrivé à son mari? Demande le policier.
- Je ne sais pas. Ila peut être voulu prendre des vacances et s´est retrouvé au mauvais endroit, au mauvais moment quelqu´um a peut-être essayé de l´enlever. Il n´a peut-être simplement pas une chance.
- Il avait des motifs d´être là?
- Je ne sais pas quelle raison il a été mort. Je me laisse pense qu´il était lié au trafic de drogue et prostitution.

L´inspecteur Delahye voulait qu’elle soit mal à l’aise. Pas qu´il pensait qu’elle ait quelque chose à voir dans le meurtre… Son alibi était béton… Complice… Improbable, mais pas à exclure totalement… Il voulait lui mettre la pression afin que, pour se dédouaner, elle vide son sac.
Le temps de boire un café, Ils avaient mis au point leur tactique d’interrogatoire. Ils la considérent comme suspecte. Son alibi lui avait paru trop parfait.


-? Qu’est-ce que tu en penses cheffe?
- J’la plains?! Elle n’a jamais fait son deuil.
-?Stop?! C’est pas le moment!





5


Après elle été tué son épouse. Tout le monde veut savoir comment elle réussi. Son histoire n´a rien de conte de fées. Elle a passe ses jours dans la compagnie de son amant à boire e a fumer.
La region a un taux de criminilité très elevé. Jackie allait parlé qu´elle avait passé un moment difficille avec son mari qu´a une maÎtresse. Il avait lui confesse qu´l avait entamé une relation amoureuse avec cette femme mariée. Toutes les allures du règlement de comptes entre truands du trafic de drogue. L´issue fatal d´un rencontre de monde. Une liaison avec une femme appelé Nathalie du monde de crime. Le resultats de sa présence dans les bars et des boïtes de nuit. Jackie avait lui demandé de divorce. Il lui demande de dresser une liste d´exigences impossibles à satisfaire. Elle lui refusat d´accorder le divorce. Elle voulait 2 millions de dollars ce qui à l´époque était une somme astronomique. Il avait pris concience que son amante est complètement folle de lui.
La nuit était étrangement tranquille, laissant naître en douceur ce dimanche de fin d’été. Une ville d’ordinaire si agitée. D´autre côté son épouse Jackie aimait aussi s´amuser dans les boïtes de nuit. Robe rouge, décolletés profonds aussi bien devant que derrière et qui s’arrête au raz du cul. Cette vision l’électrise. Il transpire devant la belle blonde. Elle fixe Christiano qui lui répond par un sourire. Le bar pleine de clients, un jeune homme musclé, sportif et séducteur qui avait appellé l´attention de Jackie. Elle ose, elle est libre, libertine, elle n’a peur de rien. C’est comme un électrochoc! Il contemple cette jolie jeune femme qu´il tient entre ses bras: cheveux très blonds, décolorés, grands yeux gris pâle, grande bouche sensuelle. Des lèvres dessinées pour les baisers. Il glisse sa main sur le tissu. Il n’esquive pas. le voyeur devait bénir le créateur d’une telle tenue qui dévoilait un sein à chaque soupir et découvrait les cuisses jusqu’au nombril à chaque mouvement, hanches, ses fesses, il lui caresse. Sous sa robe elle était nue. L’air mutin, elle s’écarte, il fixe son entrejambe. Il bande.

- Comme tu es belle! Non, fabuleuse plutôt.?Et vous venez souvent ici?
- Une ou deux fois par mois. Et ça t’a plu de regarder ça?
- Toujours ici?
- Non, des fois dans d’autres bars. Je suis um femme mariée.
-?Je m’en fous, c’est toi que je veux. je suis une acteur-X. Ça te choque? Lui demande-t-il.
-?Que fais-tu de ton temps libre?
- Je baise des femmes mariées. Je découvre en toi une jeune femme belle, sensible et attachante.
?- Oh oui, j’aime quand tu me parles comme ça, tu m’excites. Un trophée de plus à ton tableau de chasse? Je suis une femelle assoiffée de sexe.
-?Tu es toujours aussi chaude ou tu es en manque?
-?J’aime le sexe. Je veux que tu me prennes comme une chienne, Christiano!
Alors ils allaient aux toilettes. Ses talons claquent doucement sur le carrelage et elle ouvre la porte de la petite pièce où elle a vécu son aventure. Une fois entrés et la porte close, elle s’assied sur la cuvette, me tend les mains à hauteur de ses cuisses et lui fait revivre l’histoire. Christiano l’avait offert de vivre des moments intenses. Elle allait tomber amoureuse de l’acteur pornô principal dont le cœur balance. Elle-même vivait une sexualité débridée et sans tabou, et elle aimait ça.
Elle tourne la tête sur le côté, tombe sur lui qui embrasse à pleine bouche son Apollon.
Nathalie est aussi assassiné. Son corps est retrouvé sous le viaduc de l´auto route. Elle a été sauvagement assassinée dans la région. Le corps est rapidement identifiée et elle s´agit de Nathalie Belmont. La médicine legale confirme qu´elle est mort le jour de sa disparition. Tout le monde pensait que c´etait quelqu´un qu´elle connaîssait. Qui a tué Nathalie? Il y a des harcèlements sur les deux meurtres. Des menaces, espécie de piege. C´est fou qu´une chose pareille ait pu arriver. La situation est devenue incontrolable de la méchancheté purê. Les semaine que suivent le sacandale fait la une des journaux qui révélennt Jackie Ferreira une femme violente, scandaleuse en mauvais caractère qui ne savait se tenir en pubic.
Dans le tribunal de justice s´ouvre un proccès exceptionnel celui de Jackie Ferreira accusée de tuer son mari Waldemar Ferreira de 42 ans avec la complicité de son amant Christiano Silva de 26 ans. Jackie est complètement deplié sur elle même. Ses amants avait donné condiction de cachê un crime si atroce pendant plusieurs années. C´était un couple diabolique n´y a pas d´autre mot. Elle est insaisissable, une manupulatrice.









6

L´avocat attrape son téléphone et il ouvre le message, Il pose son téléphone sur le plan de travail.
SMS G: « Retrouve moi dans mon appartement.»
SMS J : « Ok j’arrive !!!
L´avocat démarre son véhicule, il met la musique à fond. Il était d’excellente humeur. Il a tellement hâte d’y être.. 10 minutes plus tard, me voilà arriver, il se gare comme prévu. L´avocat de 42 ans se rendait au appartement de sa cliente le matin pour l'entretien d'embauche planifié. Elle était propriétaire d’un très bel appartement, depuis plusieurs années. L’ambiance dans son immeuble était correcte sans excès. Cette attente de la volcanique Glacy s’excitait. La blonde lors de ses sorties, au cinéma, à faire du shopping, à un rendez-vous… Sans culotte.
Elle, la trentaine passé, le genre de femme à qui on avait envie de baiser, taille moyenne, mince, bien pourvue un visage à la beauté unique, des yeux bleus magnétiques. Glacy Veronesi est une femme très belle, cheveux long blonds et bouclés ,de généreux seins naturel et un petit cul fesses bombées et une chatte lisse et douce avec de belle lèvre vaginal. Il allait prendre l’ascenseur face à vous et monter au deuxième étage. À ce moment, coup de sonnette. L´avocat avait sonné à la porte. Glacy alla ouvrir et la réaction de lui au la voir ne se fit pas attendre.
La blonde n'avait que rarement vu un homme aussi séduisant, instruit et charismatique. Son gout pour les hommes vicieux l'a fait découvrir pas mal de choses. Mais bizarrement elle préfère souvent les gars direct, vicieux et pervers. Il avait atteint par le démon de midi,

- Madame Veronesi?
- Oui.. Glacy Veronesi.
- Votre avocat, José Fernandes.
- Je ne vous attendait si tôt.
- Je reviendrai plus tard.
- Non, entrez.
- Merci.
- Asseyez-vous, J´arrive.
- Venu spécialement pour vous.

La blonde virevolte, et il découvre une chute de reins incroyablement cambrée, soulignée par la robee tendue à craquer. Elle secoue sa tête et ils tombent en cascade sur ses épaules dénudées. Le léger balancement achève de lui donner le vertige. Elle ne peut pas ignorer l’effet qu’elle lui fait. Elle l’invite alors à s’asseoir sur une chaise face à son bureau. Lors de sa première rencontre avec son avocat pour son affaire.

- Qu´et-ce que tu fais dans ta vie?
- Je suis négociatrice dans une société d’import-export de mon mari. Je m’occupe de négocier les prix avec les fournisseurs.

Les hommes expérimentés prennent les choses en main et décuple le plaisir.Glacy savait que son avocat qu'il était d'un caractère dominant, ce qui présageait forcément de la façon dont il allait se comporter et donc générait forcément un peu d'appréhension. Elle s’exhibait, naturellement, mais il ne savait pas si elle s’était rendu compte alors qu’elle l’avait marqué l’esprit à tout jamais. Dans le mouvement sa robe s’était franchement relevée sur ses cuisses. Un petit effort et ses cuises se sont ouvertes. par contre l´avocat regardait aussi et son regard de braise lui faisait de l’effet. Il matait la femme sans arrêt et baladait ses yeux sur tout son corps. Son jeu de jambes, ses sourires, ses attitudes, ses paroles, ce bruit si sexy, ses seins qu’on pouvait entrevoir à travers sa robe.
Elle avait mis pour cette occasion une robe en coton, d’un style chic et élégant de couleur bleu marine unicolore qui l’arrivait au genou avec un col rond et des manches longues, une paire de escarpins haut de 15 cm. La coupe était ajustée et le bas de la robe était évasé avec des ourlets, à volants pour une coupe régulière mais terriblement bourgeois. Très attractive avec un léger décolleté. Sur le côté, gauche une série de boutons descendant le long de la robe lui permettaient d'avoir un look sensuel, et raffiné, en attisant le côté pulpeux de ses formes de bourgeoise mature, sous-tendues par une impression d'accessibilité érotique. Les hommes lorsqu'ils veulent quelques chose sont prêt a tout, mais il devait faire un effort extrêmement puissant pour détourner ses yeux de sa poitrine, volumineuse qui semblaient encore fermes et qui l’excitaient au plus haut point.. Elle se laissa aller contre le divan, les mains derrière la nuque. Les pointes de ses seins dardées. Il est aux anges de découvrir les gros seins, Glacy eut un petit rire.
- Tu es superbe, tes gros seins son parfaits. C’est délicieux, une femme lui bouffe la chatte d une déesse.
- -Je vais de surprise en surprise. Tu es um beau homme. Cela à l’air de te plaire? Ma poitrine te plaît?
- Ils sont beau à voir.
-Tout ça me donne une idée, pas toi?
- Et ton mari?
-T’inquiète! Il est en Voyage d´affaires.
- Je peux?
- Ne sois pas si presser, j’aimerai faire quelques chose avant.
- A ton aise, me répondit-il,
Glacy Veronesi reste en effet célèbre pour sa vie amoureuse tumultueuse. L´avocat était un véritable colosse. Puissamment bâti, très grand et large d’épaule, il se dégageait de sa personne une assurance et une estime de soi. Il est très bel homme, pensa-t-elle. Après un échange poli et banal sur la météo et le trafic urbain du matin, les démarraient l’entretien qui à sa grande surprise resta très professionnel.

.- J’ai trouvé que c’était un moment agréable. Tu es très jolie, Madame.
- Détends-toi. Cela faisait um mois que Arnaldo était venu me baiser devant mon tendre époux. Arnaldo m'avait baisé comme un dieu. J'avais fini par le libérer pour qu’il puisse se branler finalement. Mais moi j'avais hâte de revoir mon amant. .

La blonde n'éprouve aucun remord de la mort d´Arnaldo à vivre cet amour en dehors des conventions et des usages.

- Oh! José tu es vraiment un coquin. Mon mari s'excite de savoir que je me fais prendre par d'autre mec. Il aime te regarder me faire défoncer, Après sept ans de mariage ! Je ne sais pas comment une telle chose a pu arriver.
- Tu es super sexy dans ta robe. Ohhhh Glacy, tu me rends fou, j’ai trop envie de toi, laisse-toi faire.
- José, s'il te plaît, arrête, je ne veux pas. Non, José, arrête s’il te plaît, tu me rends folle.
- J'ai trop envie de toi, il faut que je te baise tout de suíte.
- Oui, j'ai envie de toi, je veux que tu me prennes, je veux que tu me baises. Viens, je vais t’apprendre comment faire jouir un homme.


Elle déboutonne sa robe et l’ouvre sur ses gros seins... Ils échangeaient quelques baisers baveux, le pourtour de sa bouche était irritée par sa barbe naissante. Ça y est, mon vagin recommençait à mouiller... Mais si la avocat avait su avant que ce volcan qui semblait éteint pouvait avoir de telles éruptions..
Ces coups de bite de plus en plus fort me déchire la chatte. Elle est trempée dilatéee et jouit a nouveau sa chatte est en feu.
a ce rythme elle sent sa queue se redire et se secoué dans sa petite chatte, il transpire et cri encore c'est trop bon, mais il n'as pas pu se retenir et lacha des jets bouillants au fond, il se retire avec un filet de sperme enorme son gland gonflé .
Autour d’une tasse de café, nous échangions des banalités, mais il devait faire un effort... La TV est allumée:” Le procès de Glacy Veronesi debute cette semaine sur le photographe Arnaldo José Silva retrouvé mort dans un hôtel aurait été assassine par sa maîtresse Glacy Veronesi celle qui avait été nommée entrepreneuse de l´année, clame sa innocence et assure avoir été piegé. La blonde du Jet-set est en liberte sous caution será jugée vendredi.”

- Cette fois, je savais à quoi m‘attendre… Au moins, ils parlent au conditionnel, je vais en avoir pour la journée entière à organiser la logistique de sa defense. Vous n´est pas qu´une suspect. Il n´y a aucune pruve contre vous, dit l´avocat.
- Il n´y en aura pas. Je n´ai rien fait.
- Parfois, on est punis pour avoir rien fait. On a um problème. Ce que j´ai trouvé va Donner un nouveau tournant à l´affaire, toutefois, pas de bom sens. Le procureur a trouvé un individu que va témoigner contre vous.
- Qui?
- Je ne sais pas. J´ignore qui c´est et ou il est. Mais cette personne a des preuves qui peuvent tout changer. D´où ma venue précipite. Ce nouveau témoin va faire sa déclaration au commissariat dans trois heures, s´il a vraiment preuves vous serez sans doute convoquée au commissariat ce soir. La justice pourra alors lance un mandat d´arrêt contre vous.
- Si ce témoin a des preuves, ça change quoi? J´ai dit la vérité.
- Ce que l´on pense être la vérité ne l´est pas pour tout le monde. Chacun a as propre vérité. Vous devez savoir que la justice est aveugle. Elle ne pend em compte que la vérité qui peut-être prouvée par des faits, et les faits se basent sur de choses insignifiantes, des détails. Ce sont des détails qui peuvent confirmer ou infirmer les preuves, ce témoin a peut-être des preuves, mais vous avez la vérité.
- Il y a quelques années avec mon époux, nous avons fait le choix de découvrir le monde libertin pour sortir d' une certaine routine qui s'était installée dans notre couple et réaliser des fantasmes. Notre vie libertine était lancée et avide de nouvelles sensations. Au connaître le photographe professionnel Arnaldo dans une boite de nuit mondaine, mon époux suggérait à moi de trouver un amant qui saurait me satisfaire. L homme qui allait devenir l amant parfait, est venu naturellement à moi.. Un bel étalon qui a su pendant ces quelques mois lui procurer énormément de jouissance et d orgasme comme elle en avait jamais vécu jusqu'à présent.
- Excuse-moi, mais il faut cette vérité. J´ai remarque dans votre déclaration de nombreuse failles. Le procureur pourra les utiliser conte vous. J´ai besoin de connaître votre vérité pour combler ces failles. Je vous assure que je peux le faire. Je n´ai jamais perdu d´affaire. Je vous devez me dire la vérité, la vérité, et rien que la vérité.
- J´ai fait une seule erreur et voilà ou j´en suis. Mon mari est partis. Je suis assignée à residence, on me surveille en permanence. Si je cachais quoi que soit vous auriez été au courant.
- Alors vous em avons terminé. Le meurtrier a été découvert.
- Qui?
- Vous... Glacy, je peux vous appeler par votre prénom?
- Oui... Tu m´as déjà baisée, non?
- Glacy! Si on témoigne contre vous, vous pouvez immédiatement arrêté. Nous avons trois heures pour éviter cela. Je peux le faire si vous me dites la vérité.
- J´ai déjà tout dit. J´ai dit toute La vérité. On m´a piégé.
- Vous me payez à l´heure, três chère, vous pouvez entêter à répéter La même chose ou vous pouvez faire em sorte d´éviter la prison.
- Bien, allez-y.
- Je prefere cela. Commençons par le commencement. Que faisez-vous au Lord Palace Hôtel avec le photographe professionnel Arnaldo?
- Il était mon amant. On était ensemble depuis 6 mois.
- Un inconnu voulait 10.000 dollars pour vendre des preuves contre nous.
- C´est beaucoup. C´est um point de rendez-vous étrange, pleine de témoins. Vous devez tout me raconter dans les moindres détails.
- J´étais dans la chambre avec mon amant quand je me suis évanouie. À mon réveil...
- Dans le monde tout est possible. Qu´avez-vous vu?
- On frappait la porte.
- Ouvrez! Police. Vous m´en entendez? Est-ce que tu vas bien? Ouvre immédiatement la porte. Vous m´entendez?
- Arnaldo, tu m´entend?
- Venez, ouvre la porte, dit un policier.
- J´ai besoin d´aide, il y a quelqu´un dans la pièce, criais-je.
- Mains à l´air, mains en l´air. Les mains dans le dos, ordonne la Police.
- Ce n´est pas moi, je le jure.
- Ne bouge pas.
- Il y a quelqu´un d´autre ici, écoute-moi.
- Tournez-vous, n´avance pas.
- Il y a quelqu´un. Il n´a pas pu aller bien loin, il faut arreter.
- Vous êtes suspectée de meurtre. Vous pouvez gardez le silence, tous ce que vous direz pourra être utilize contre vous.
- Du rapport. On a um cadavre ici.
- Selon La Police dês témoins ont entendu des cris dans la chambre, mais personne n´est pas dorti. La porte était fermé depuis l´intérieur. La fenêtre ne pouvait pas s´ouvrir, aucune trace d´effraction du niveau de La porte ou de la fenêtre. Pas de pas. Il aurait été impossible de sortir sans laisser traces ainsi, selon votre déclaration, le meurtre de Arnaldo s´évaporé.
- Il était déjà là à notre arrivée.
- Vraiment? Comment? Selon lês personnes de l´hôtel vous étiez les seuls à avoir les clés.
- C´est bien ce que je disais. Tout a été meticuleusement préparé. Tout a été prévu pour me faire accuser. La police pensait que jê voulait rompre avec Arnaldo et que je voulait acheter son silence, mais voyant qu´il refusait, jê l´aurais assassine.
- Si on peut piéger quelqu´um il faut um móbile. Qui aurais intérêt à vous piéger? Pour quel móbile? Dans votre histoire jê ne vois ni móbile, ni mertrier. Que fait-on, alors?
- Ce n´est pas à moi de trouver le meurtrier . C´est La Police.
- Ils disent que c´est vous. Il ne s´agit pas que de juge. J´ai moi même du mal à croire à cette histoire de meurtrier invisible.
- C´est votre problèmej´ai dis la vérité.
- Vous savez au cours de mês 20 ans d´ecpérience, j´ai eu deux types de clients. Ceux qui se croiant plus malins que moi et ceux qui le sont. Vous faites partie des premiers. Je vais être Clair, vous n´êtes pas plus maligne que moi et vous ne devez pas l´être. Regarde.... Dans le journal ils est écrit qu´il a disparu um jeune homme près de l´hôtel Lorde Palace. Qu´en pensez-vous? Que pensez-vous qu´il arrivera si le témoins relie les histoires? Alors? Vous savez. Si vous vouler éviter la prison je dois connaître toute la vérité.
- À partir de maintenant je vous demande de ne rien me cacher, c´est compris?
- Tout à commencé il y a trois móis. J´avais avec mon amant le photographe quand nous sommes de retour nous allons prend La route, um animal sauvage croisé devant la voiture que pour éviter l´accident vai arreter. L´homme d´une autre voiture avait se blessé.
- Alors, qu´et-ce qu tu fais?
- Je prend la voiture du jeune homme et j´ai balance à l´eau d´un lac proche. Puis j´ai vu sur la TV que le jeune homme disparu avait été volé em 50.000 de as compte bancaire. Alors jê vais me rencontrer avec mon amant.
- Tu t´avais volé le mort?
- Oui, jê fais pour nous. Personne ne saura.
- Comment as-tu pu faire cela?
- Ne me regarde comme ça, tu es aussi responsable que moi, ne l´oublie pas. On est pareil, toi et moi. C´est comme ça, dit le protographe.
- C´est faux.
- Si je plonge, tu plonge avec moi, menace l´amant.
- C´est une menace? La Police a ton portrait-robot.
- Je sais... Mais moi, j´ai quelque chose que la Police n´a pas. Des photos de vous dans la scène du crime.
- C´est vraiment son amant photographe qui voulait l´argent de vous.
- J´ai alors compris à quel point vous etiez puissante. Le pouvoir est le pire forme d´addiction. J´ai tout qu´il me faut, laise-moi résumer. Il y a deux cadavres. Le jeune homme et le photographe. La police sait de le photographe face qu´on a retrouvé sans son corps. Une témoin avait vu le photographe sur La scène du crime mais pas vous. Le plain est parfait. La mère du jeune homme voulait l´accusé du crime. Son plan était parfait. Vous êtes prenda au pièece. Tu vas gagner son innocence.
- Tu es le meilleur avocat du monde. À partir de ça jê suis ta maitresse.
- Je ne sais pas... Tu es une femme trop dangereuse.


Fin
Ivan Ribeiro Lagos
teresinapr@hotmail.com





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