Parue le 09 mars 2023

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Cocu violent
Préface

Des récits érotiques baignés d’une atmosphère sombre, voire sanglante. C’est l’été, il fait chaud, les vêtements volent, les bas soyeux glissent sur les cuisses et révèlent la nudité du reste… Bas de soie, c’est la thématique de deux recueils collectifs Marilia, et pour faire monter la température, je vous livre un petit extrait de ma nouvelle, parue dans le recueil Bas de soie et talons aiguilles. Il n’y a qu’une seule façon de célébrer l’amour. Bien sûr, il y a les cœurs en velours, les fraises tagada roses, les déclarations d’amour gravées, brodées, chantées, ciselées, tricotées. Évidemment, il y a les dîners aux chandelles. une femme troublée par son neveu. Elle a aimé la façon dont elle évoque la naissance du désir, ainsi que les changements de points de vue qui enrichissent le récit. Enfin, la nouvelle que le arabet l’a séduite : une femme y écrit en prenant le dos de son amant pour support. L’allusion aux Liaisons dangereuses est savoureuse, le style maîtrisé.


1

Un jour Marilia mariée avec Célio Dubot arrivait de l´hôspital arrivait à son domicilie et dit qu´un mec avait lui donné 100 euros pour voir ses seins. Bien j´ai enlevé mon soutien gorge pour 5minutes. Elle expliquait qu´elle besoin du l´argent pour ses dettes. Célio se taise et rien dit. Le patient inrterné pour un problème au genou est un connu mafieu de Búzios. Millionnaire il voulait plairer la belle infermière avec son l´argent. Le jour suivante Ses regards se croisèrent et elle lui fit un clin d’œil après avoir jeté un coup d’œil sur son buste. Penchée en avant, elle constatait qu´elle lui offrait le spectacle de ses seins nus à quelques centimètres de son nez. Il se sentit rougit. Elle sentit une main se poser sur sa hanche et s’insinuer sous sa tunique. Paralysée, Marilia le laissait faire. La main était douce et chaude, elle remonta le long de son flanc, remonta jusqu’au sein qu’elle se mit à caresser. D’étranges sentiments contradictoires s’opposaient. Les yeux exorbités il fixait mes seins. Soudain, il posa une main ferme sur mes fesses, puis il lui donne plus 200 euros. Voilà l´argent pour vous, dit elle au mari.,
-? Tout les mâles n’avaient d’yeux que pour moi. Ça t’a plu mon chéri, lui fit-elle?
?- Tu joues vraiment ton rôle à la perfection, lui dit Célio, le mari.
- Il veux me pénétrer avec deux doigts et me faire joir por 300 euros.
- Je suis déjà cocu. Cocu et rabaissé devant son amant riche. Merci, belle enfant, vous êtes absolument ravissante.
?- Chéri, fais quelque chose ! Tu vois bien que ce sale type m’enfonce ses doigts?
- Oui... Mais pour la baiser est plus chère.

Marilia retournait dans la chambre. « Excellent » lui dit-il. Il repoussa les draps. Il n’était vêtu que d’une chemise d’hôpital, et la première chose qui attitra ma vue, c’était son érection bien visible qui déformait sa chemise d’hôpital.

- Approche.?Tu m’excites trop avec tes jolies jambes ! ordonna-t-il.

Il était passé au tutoiement. Elle obéit. Elle avançat jusqu’au lit. Avec son bras valide, il attrapa ma tunique et tira latéralement dessus, faisant sauter les deux boutons restants. Sa tunique baillait sur ses seins libres. « Enlève là. Tu en crèves d’envie ». Elle se retrouvait seins nus. Il s’assit sur le lit, posa ses mains sur mes hanches, et approcha sa bouche de ses seins, les embrassant alternativement. Elle sentait qu´il mouillait abondamment. Sa langue était douce, elle sentait ses pointes s’allonger. Ses mains ne restaient pas inactives, elles virevoltaient dans son dos, faisant naitre des picotements excitants. . Il entama un va et vient avec son doigt, bientôt rejoint par un deuxième puis un troisième. Elle mouillait abondamment.

- ?Je veux bien, fit l’intéressé, une idée derrière la tête.
-?Veux-tu que je te serve, demanda-t-elle à son mari?
-?Tu sais, quand on sait la prendre, ma chérie est chaude comme une braise… Un vrai volcan .
. - Ben oui, fit Marilia, encore plus décontenancé . Mais il va me donner 500 euros.

Marilia grimpait sur le lit et s’assis sur lui, s’empalant sur sa bite, se laissant pénétrer doucement, centimètre après centimètre. Jamais elle ne l’était sentie aussi remplie. Il commença à bouger, entrant doucement en action, lui tenant au niveau des chevilles. La sensation n’était pas douloureuse, mais elle n’était pas habituée à un cylindre d’un tel volume. Il variait le rythme de ses coups de boutoir ainsi que la course tantôt il s’enfonçait profondément, tantôt il restait près de l’entrée. C’était un amant expérimenté, rien à voir avec les quelques copains avec qu´elle avait été plus loin que le flirt. C’était amusant, je se faisait baiser par un parfait inconnu dont elle connaissait à peine le nom et qui m’aura oublié demain, et elle énumérait dans sa tête.

- Descends, le lit craque un peu, il ne faut pas attirer l’attention Fais-moi sentir ta chatte.
- C´est une grosse bite. ?Je suis au paradis, mon chéri… Quelle extase.
- Alors, tu t’es fait combien aujourd’hui? Il t’a bien sautée le mec de la 360? Moi je me le suis fait il y a deux jours. Un bon baiseur, hein?« Dans l’ascenseur, je regardais dans ma poche.: cinq billets de cent euros. Facilement et agréablement gagnés en plus !

Elle jouit longuement en emprisonnant sa tête contre son sexe. Je retrouvait le goût du sperme de son amant.. Elle prend sa bite en bouche pour récupérer les dernières gouttes. Elle se redresse, on s'embrasse.

- Voilà les 500 euros. ?Il m’a baisée comme un dieu, mon chéri, fit-elle
- 500 euros, il est fous?
- Non... Tout les mâles n’avaient d’yeux que pour moi..Il va sortir de l´hôpital demain... J´a´lui dit que je suis mariée et il veut offrir 1000 euros pout t´enculer dans as maison.
-?Je viens d’avoir une idée… c’est un peu nébuleux. Mais je vais accepter d´être enculé par lui.

Marilia venant de prendre sa douche se cherche des habits pour la journée. Depuis la rencontre avec Rabibi elle n'a plus mis de bas ni de string au travail les remplaçant par des collants et des tangas. Elle finie par opter pour une robe a imprimé a fleur aux couleurs vives, une paire de chaussures à talons, un collant noir satiné et un tanga avec quand même de la dentelle, un soutien-gorge en coton confortable avec des baleines pour bien maintenir ses seins lourds (90C). Elle est séduisante et maquillée, les ongles vernis et un petit bracelet de cheville en or.


- Je t’en prie Rabid, tu vas me faire mal, ta queue est trop grosse.

Puis, Marilia voit le grosse membre forcer l´anus de son mari, sans relâche. Ensuite il pénètre son anus, la verge est entrée de moitié. Cramponnant son mari aux hanches, il donne un grand coup de reins.
- Aie, aie hiaou, arrête, tu me fais mal, tu vas me déchirer.
Malgré ses sanglots, sa femme assiste à la scène sans lever le petit doigt. Elle jouit de le voir soumis à son amant. je serre les dents. Je suis larmes. Inexorablement, la queue de Rabid se met en place dans mon ventre. La bite est maintenant entrée toute entière dans le cul étroit, il va et vient dans sa rondelle dilatée.. .Elle ne peut même plus crier. Les longs jets gluant et blancs arrivent sur les reins et les fesses de son mari.

- Ca y est… Je jouis… je jouis… prend mon sperme…oui…tiens.
- Tu doit être heureux ?de me voir baiser avec un autre homme m´enculer, c’est ça ?
- ?Tu m’a dit qu’il avait un fantasme et…-C’est le plus beau cadeau que tu puisse me faire. Une femme aime voir son mari soumis à son amant


Depuis je l'imaginait avec un autre homme que lui prendre du plaisir à se faire pénétrer par un autre sexe... Oui depuis ce jour ses idées de candaulisme lui hantait la tête, et une soirée en sa compagnie je lui ai fais par de se désir. Un jour en naviguant sur un site d'annonces d'homme libertin elle est tombé sur un homme qui se proposait à draguer les épouses en toute discrétion à leur insu, en partant du deal de tout raconter au mari, bingo je le contacte.
Une robe dos nu, soyeuse, avec un décolleté plongeant sans soutien. Ses seins bien accrochés, loin de tombés avec une gorge magnifique pouvant s’en passer.
L’effet était ouahhhh.
On percevait facilement les pointes de ses seins libres frotter le tissu léger à chacun de mes déplacements. Qui plus est quand je me penchais, le voisin de table pouvait se régaler du spectacle intégral. Elle ne portait pas de bas et elle avait un slip en soie blanche épousant comme Il aime parfaitement ses charmes.

Après plusieurs messages échangé avec cet homme libertin, Ils sont posés autour d'un café dans un bar du centre ville, oui nous habitons dans la même ville par chance, le rapport c'est bien déroulé en plus bel homme charmant et bon style pour sa femme et du même âge et c'est à partir de la que tout à commencer.
Laur plan pour une première rencontre s'est déroulé en soirée dans le même bar il devait nous rejoindre et par manigence d'être de vieux ami ayant joué au football ensemble, son esprit commencé à lui faire tourner la tête et quand il arriva, il a était surpris du premier contact, on a bien discuté avec son épouse et surtout son complice, et il fallut au bout de 45 minutes de fumer sa cigarette, de les laissés ensemble et mater par le hall de les voir rire. La soirée fut agréable, sa femme sans parler de lui il prit son téléphone le lendemain matin pour demander à son complice se qui s'était dit pendant ses absences cigarettes, il l'a juste répondu qu'il était sous le charme de son épouse et que ça devait être réciproque de son côté.
Mais la belle était mariée, mal ou bien mariée, mais mariée. Il se résolut donc à lui faire la cour d’abord discrètement, puis plus explicitement, usant de ses yeux, puis de ses mains, dont il usa habilement pour lui caresser les bras, sous prétexte de l’aider à porter ses courses, puis la taille, légèrement, pour la soutenir dans son effort.

-?N’as-tu pas peur d’être devenu mon amant ??Serais-tu une mangeuse d’homme? J’ai bien aimé tout à l’heure, quand tes lèvres, à la fois voraces et douces, ont quitté ma bouche pour dévorer…
-?Merci pour le compliment… Non, je pensais à mon mari. Tu sais, il est jaloux, même s’il est un peu rétif au devoir conjugal…

Disparition mystérieuse de Marilia Dubot une infermière de 33ans. Marilia c´est madame tout le monde et personne ne comprend que madame tout le monde se volatise.à dix jour de noël. Marilia a aucune raison de disparaitre. Jamais elle ne serait parti tout seul. C´est le point d´interrogation. C´est le debut d´une étrange affaire. Que, est que t-il arrivé à Marilia dubot, depuis la nuit de 15 de dezembre 2020, cette infermière à étrangement disparue fans son foyeur, pas de scène de crime, pas de trace, pas d´aveux. Des semaines de recherches infructueuse et une nequête aux nombreuses zones d´ambré voici les ingredients d´un fait divers devenu une affaire hors normes que tient le Rio de Janeiro em haleine d´autant qua le principal suspect nl est autre que son mari Célio Dubot, un homme à l´atitude deroutant que continuent à brouiller les pistes derrière le barreaux de sa prison, Les enquêteurs veulent découvrir cette affaire sous un nouveau jour car pour la première fois à la télévision les proches de Marilia Dubot et de Célio dubot ont accepeter de temoigner et tout racontent leur vérité nous reviendrons aussi sur les secrets de l´enquête avec remoignes exclusifs documents jamais une enquête signée Jacques Delayhé,
C´est une disparition qui mobilise depuis pluiseurs jours, maintenant des dizaines de policiers dans le departement d´État et tout cela dansd l´espoir de retrouver Marilia jus cette belle epouse qu´avait laissé son domicilie et aurait laissé son domicilie, sans laisser des traces dans la nuit de mardi à mercredi et ne plus donné plus nouvelles à ses proches.
Il y a quinze mois à la veille de noël c´est une etrange disparition.qui a fait la une depuis I obséda, mardi à mervredi la police qui a déployé d´important, moyen de recherche vous avez pu la plus qu´un falts divers. La mystère reste intacyte pout tout ela region. Depuis quinze de decembre une absence vécu comme une torture, toujour les mêmes question sans reponse, aucune surtitude quand à l´espoir lui il s´est bel et bien envolé. C´est terrible vivre c´est pour ça que jusqu´à maintenant ont est en train d´en parler.
Marilia éprouve une irrésistible attirance envers Sergio son voisin. Difficile pour elle de ne pas être séduite par son tempèrament enjoué insouciants quelqu´un qui est amusant c´est de richesse et qu´un il a un côté fetard voilà il y a un côté touchant hélas enfin on s´y ennuie sincère et brut de decoffrage quoi c´est à dire que quand ily a quelque chose à direi l n´hésite. Un peu immature on va pas se mentir un peu immature, mais une personalité qui attachante,
Marilia tombe éperdument amoureuse de Sergio lui n´est pas insensible au charme de cette voisine si rayonnante. Elle est d´um style relativement classique, mais son mari est arrêté pour l´assassinât de son épous Marilia,

Fin
Ivan Ribeiro Lagos
teresinapr@hotmail.com

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